Fusée routière...
Pour faire le plein de sensations fortes, quoi de mieux que les simulateurs employés par les astronautes ? Vous ne voyez pas ? Et pourtant, Lamborghini présente à Genève un engin qui devrait faire pâlir la NASA : une version allégée et boostée de la Murcielago, baptisée LP670-4 SV.
Tous ceux qui ont déjà conduit une Lamborghini Murcielago LP640 vous le diront : l'expérience s'apparente déjà à un aller-retour dans l'espace. Alors, comment définir ce qui attend les passagers de la nouvelle Lamborghini Murcielago LP670-4 SuperVeloce, dévoilée à Genève ? Insatiable, la diva italienne a de nouveau gagné 30 chevaux : son V12 6.5 atteint le chiffre statosphérique de 670 ch, pour un couple de 660 Nm. Et, comme si cela ne suffisait pas, cette LP670-4 SV (deux lettres autrefois employées par les Miura, Countach et autres Diablo) a aussi suivi un régime pour perdre 100 kg. Adieu, l'aileron rétractable : il cède sa place à un élément fixe, plus léger. En option, un immense aileron en carbone est même disponible.
Carbone : le mot est lâché. Dans l'habitacle, la structure ou sur la carrosserie, ce matériau est généreusement employé. Mais la firme de Sant' Agata insiste aussi sur une ligne d'échappement allégée, qui assurerait une "expérience acoustique" encore plus grandiose, de 0 à plus de 8.000 tr/mn. C'était donc possible ? Si les oreilles vont se régaler, les autres sens seront cependant mis en éveil. Car les performances sont forcément d'une autre planète : après avoir franchi le 0 à 100 km/h en 3,2 s, cette Lamborghini Murcielago LP670-4 SuperVeloce poursuivrait sa course jusqu'à 342 km/h (337 km/h avec le grand aileron optionnel). Avant d'être arrêtée par les freins en carbone-céramique fournis de série.
Malgré sa transmission intégrale, cette Murcielago LP670-4 SuperVeloce n'est donc pas à mettre entre toutes les mains. Et elle ne se gêne pas pour le faire savoir, avec une ligne délicieusement provocatrice et un habitacle toujours plus suggestif. Fournie de série, la boîte robotisée E-Gear à six rapports pourra être remplacée par une boîte manuelle. Mais le principal dilemme est ailleurs : entre cette Lamborghini extrême et la Murcielago Roadster LP650-4, à peine moins radicale et également présentée à Genève, comment choisir ?
Pour faire le plein de sensations fortes, quoi de mieux que les simulateurs employés par les astronautes ? Vous ne voyez pas ? Et pourtant, Lamborghini présente à Genève un engin qui devrait faire pâlir la NASA : une version allégée et boostée de la Murcielago, baptisée LP670-4 SV.
Tous ceux qui ont déjà conduit une Lamborghini Murcielago LP640 vous le diront : l'expérience s'apparente déjà à un aller-retour dans l'espace. Alors, comment définir ce qui attend les passagers de la nouvelle Lamborghini Murcielago LP670-4 SuperVeloce, dévoilée à Genève ? Insatiable, la diva italienne a de nouveau gagné 30 chevaux : son V12 6.5 atteint le chiffre statosphérique de 670 ch, pour un couple de 660 Nm. Et, comme si cela ne suffisait pas, cette LP670-4 SV (deux lettres autrefois employées par les Miura, Countach et autres Diablo) a aussi suivi un régime pour perdre 100 kg. Adieu, l'aileron rétractable : il cède sa place à un élément fixe, plus léger. En option, un immense aileron en carbone est même disponible.
Carbone : le mot est lâché. Dans l'habitacle, la structure ou sur la carrosserie, ce matériau est généreusement employé. Mais la firme de Sant' Agata insiste aussi sur une ligne d'échappement allégée, qui assurerait une "expérience acoustique" encore plus grandiose, de 0 à plus de 8.000 tr/mn. C'était donc possible ? Si les oreilles vont se régaler, les autres sens seront cependant mis en éveil. Car les performances sont forcément d'une autre planète : après avoir franchi le 0 à 100 km/h en 3,2 s, cette Lamborghini Murcielago LP670-4 SuperVeloce poursuivrait sa course jusqu'à 342 km/h (337 km/h avec le grand aileron optionnel). Avant d'être arrêtée par les freins en carbone-céramique fournis de série.
Malgré sa transmission intégrale, cette Murcielago LP670-4 SuperVeloce n'est donc pas à mettre entre toutes les mains. Et elle ne se gêne pas pour le faire savoir, avec une ligne délicieusement provocatrice et un habitacle toujours plus suggestif. Fournie de série, la boîte robotisée E-Gear à six rapports pourra être remplacée par une boîte manuelle. Mais le principal dilemme est ailleurs : entre cette Lamborghini extrême et la Murcielago Roadster LP650-4, à peine moins radicale et également présentée à Genève, comment choisir ?
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